Chant à l'enfant, en hommage à Charlie Chaplin
L’enfant veille
le long des taudis de pierre
la chair tremblée par le froid
l’air vieux déjà
le sourire innocent pourtant
Le froid n’épouse que la misère
L’enfant veille
le long des taudis de pierre
la chair tremblée par le froid
l’air vieux déjà
le sourire innocent pourtant
Le froid n’épouse que la misère
et des âmes démunies
aux esprits inconscients
l’homme danse sa vie en première
L’enfant veille
quelques cailloux à la main
il tente d’ébranler le destin
quelques sous parfois
la fuite en avant souvent
Le temps ne change rien à l’affaire
et des âmes démunies
aux esprits inconscients
l’homme danse sa vie en première
L’enfant veille
au fond il n’a peur de rien
privilège des gens de peu de bien
la poche vide
et le visage serein
La misère n’effraie que les nantis
et des âmes démunies
aux esprits inconscients
l’homme danse sa vie en première
L’enfant veille
sa joie éblouit le destin
il prend dans l’offert
les richesses de la vie
et son sourire mutin
La paix est au cœur
que la misère dénude
et des âmes démunies
aux esprits innocents
l’homme danse sa vie en première
aux esprits inconscients
l’homme danse sa vie en première
L’enfant veille
quelques cailloux à la main
il tente d’ébranler le destin
quelques sous parfois
la fuite en avant souvent
Le temps ne change rien à l’affaire
et des âmes démunies
aux esprits inconscients
l’homme danse sa vie en première
L’enfant veille
au fond il n’a peur de rien
privilège des gens de peu de bien
la poche vide
et le visage serein
La misère n’effraie que les nantis
et des âmes démunies
aux esprits inconscients
l’homme danse sa vie en première
L’enfant veille
sa joie éblouit le destin
il prend dans l’offert
les richesses de la vie
et son sourire mutin
La paix est au cœur
que la misère dénude
et des âmes démunies
aux esprits innocents
l’homme danse sa vie en première
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