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La logique des signifiants


 X: la variable inconnue : le sens des choses

            Johna : x

            belle :  y                    

            Johna est belle : p

 

Formulée :                   p•(Xy)

 

 

˥L : la variable non locale : le langage non local

            Johna est là : p

            Johna n’est pas là : ˥p

           

            Formulée :                  ˥L(p)

 

C : la variable créatrice : le langage créateur de réalité

            -Johna est belle :        p

 

Formulée : C(Xy) [p•(Xy)]

           

-Dieu existe :              p ou (x)

            Dieu n’existe pas :    ˥p ou ˥(x)

           

            Formulée : C(x)•˥L[(x)]

 

-Johna est là : p ou (x  y)

              Johna : x

là : y

 

-Johna n’est pas là :  ˥p  si Johna existe

                                    ˥Lx si Johna n’existe pas

 

-Johna est belle : p ou (x  y) ou (x)(x  y) ou •  signifie être mais ni égal ni conjonctif mais les deux ensemble et aucun des deux.

Johna :x

Belle :y ou X(y)

 

Formulée : {CX(y)C(x)} (x  y) =p

 

-Dieu existe : (x) ou p

-Dieu n’existe pas : ˥p ou ˥ꓱ(x) ou ꓱ˥(x)

                                   C(x)•˥L(x)

 Ou Dieu :x

IC  Le langage inconscient : le langage non réel

              -Le minotaure existe : p ou (x) ou  IC (x)

- (le minotaure) (m’) (a tuée)

              A         (   CSC)

              A             B       ˥ꓱ(b)

-IC(x) • p

Le minotaure m’a tuée : p

dans mon rêve : x

                                           ˥ : négation formelle ou absolue, négation d’une idée

                                           ˥᷉ : négation relative, négation d’un mot ou d’une chose

                                           ˥L :  négation absolue quantique : négation de l’existence

                            ˥᷉L : négation relative quantique : négation de l’existence

                            | : changement d’état absolu

                            S| : changement d’état relatif

                            ǂ : changement d’état quantique

 

La conscience comme origine du référentiel de calcul :

O/f(x)  en math

O/ꓱ(x)  en logique

 

              Vivant être≠exister

 

              Création réelle :                             Cr

Création imaginaire :                       Ci

Création logique :                            Cl

              Création de tous types d’informations en même temps

Création non référencée :                  C

Création mythique :                          Cm

Création onirique :                            CO

Création idéale :                               Cd

Création symbolique :                      Cs

Création Non réelle :                       Cn

Décréation :                                    ˥C ou ˥᷉C

                                                     ˥LC ou ˥᷉LC

              Capacité du langage de décréer quelque chose

 

-Dieu n’existe pas on crée l’existence de dieu pour pouvoir la nier :

˥ꓱ(dieu)= (dieu) tel que ˥ꓱ(dieu)  si dieu =D

Si ꓱ(D) alors (D • ˥D) où (D≠˥D)

Si ˥ꓱ(D) alors ꓱ(D) où ˥ꓱ(D) = ꓱ(D)

                            Le paradoxe de Dieu…

                                           [C(D) →˥LC (D)] ou [Cꓱ(D) → ˥LC (D)

             

Ceci étant dieu peut être vivant et non vivant en même temps (deus cive natura), existant et non existant en même temps, étant ou non étant en même temps (soit en même temps, être et non-être, soit en même temps, être et vide, non être et vide ne recouvrent pas les mêmes significations.), mais pas au même lieu, l’espace est le temps observé de manière différente, mais le milieu n’est ni l’espace ni le temps, mais les deux ensemble observés ni comme espace, ni comme temps singulièrement.

              La négation formelle, absolue, implique un seul référentiel

              La négation relative implique deux au moins référentiels

La négation quantique implique n référentiels

 

              -Dieu est vivant et non vivant

Vivant= A

a.        Formel :       A •˥A : contradiction  Av˥A

Il vit ou il ne vit pas

b.       Relative :     ˥A CA : valide A•˥A

Il ne vit pas mais il est le vivant dans son ensemble

c.       Quantique : A•˥A  ou A•˥᷉A car AC˥A et ˥ACA

Il vit de manière locale mais il ne vit pas de manière non locale.

                           

Donc :        [Cl (D)/A(D) • ˥᷉LA(D)] ou [Cl (D)/A(D) • ˥LA(D)

                           

Les logiques formelles sont locales et donc absolues, les logiques informelles sont semi locales et donc relatives, les logiques quantiques sont semi ou non locales et donc globales.

                                          

(J’ai vu) (le minotaure) (me tuer) (dans mon rêve)

    A                 B          → [(C S|˥C)] / IC (x)

 

J’ai vu : a/a(b) ou a=pronom, /a= action et (b)= verbe

 

Donc :    O{(a/a(b)) B [(C S|˥C)] / IC (x)}/ O/ꓱ(x)

             

              L’origine de l’équation, c’est la conscience qui la pense. Si l’on a une équation ouverte, ou évolutive, l’origine ce n’est pas l’espace et le temps, c’est le référentiel dans lequel est pensée cette équation et donc la conscience et sa manière de penser (son système de référence conceptuel). Donc l’origine, c’est

                             (OC •Rf) •R((x,y),z,t)

 

Soit la conscience comme origine, plus le référentiel choisi, plus la relation entre les dimensions spatio-temporelle choisie et défini (déterminées d’une manière conventionnelle) ici en exemple celui de notre réalité relative.

 


 

Il faut donc bien distinguer les référentiels de contenus par exemple Rf(O’ O’’) où O’et O’’ définissent une partie du référentiel impliqués dans le calcul, des référentiels de contenants par exemple Rf(O,x,y) où O et (x,y) définissent le référentiel impliquant la possibilité même du calcul et le cadre dans lequel il pourra être opéré.

Dans ce cas, le système O définit une partie de son système de conceptualisation soit l’observateur (conscience C), la chose observée (contenu) et l’observatoire (contenant), où contenu plus contenant sont Rf, en conséquence,

              O= (C +Rf)

Par équation ouverte ou évolutive, j’entends une équation qui évolue selon et dans l’espace-temps choisi. Elle va évoluer en fonction de l’évolution ou de la distorsion du référentiel choisi.

Par équation fermée ou statique, j’entends une équation qui n’évolue pas selon et dans le référentiel choisi, le résultat reste identique quel que soit le référentiel choisi.

 

Il y a différents types d’être :

            Être local : 

            Être semi local : l

Être non local : ll

 

 

Langage/Réel/Conscience

                            Energie+information+conscience=chose=lumière

                            Energie+information+conscience=mot=son

                            Energie+information+conscience=matière= son+lumière+observateur

 

 

 

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