Accéder au contenu principal

Comment je concevais la formation du monde...

Un peu d'humour...

La philosophie des qualia ne serait ni plus ni moins que le récit de la création du monde..., selon moi, à un moment de ma vie où cela s'est imposé à moi comme une évidence... Mais en l'occurrence, il ne s'agit pas d'une création mais de la formation de l'univers et de la manifestation.

Le verdict scientifique en Physique est que ma théorie n'est pas scientifique au sens français et positiviste du terme. Mais c'est une expérience de pensée, comme toutes les théories les plus farfelues de l'humanité : la quantique de Planck, la relativité d'Einstein, la poussée d'Archimède, le théorème de Pythagore, la pomme de Newton et autres beautés de la science... Alors oui, le positivisme français ne se satisfait guère de ce genre d'expériences de pensée, mais c'est par elles que se font les sciences... 

Mon verdict est qu'il y a de nombreuses idées fort intéressantes dans ce texte et que ce récit, écrit entre Décembre 2018 et Janvier 2021, puis repris en Juillet 2023, et qui sera sans doute remanié au fil de mes idées, ne pêche pas en imagination, voire en imaginaire, si l'imaginaire est la faculté de transformer les données immédiates de la matière en données médiates de la conscience.

On peut retrouver le récit de la genèse du livre ici: 

La philosophie des qualia, genèse 

Je vous souhaite un excellent voyage dans mon univers... 

Commentaires

Posts les plus consultés de ce blog

La négativité, le néant Chez Bergson et Heidegger

La critique de l’idée de néant proposée par Henri Bergson au début du 20 ème siècle dans L’évolution créatrice et La pensée et le mouvant est au fondement de la constitution de sa conception de l’élan vital et de la pensée en durée en tant que présences émergentes, créatrices et continuées de ce qu’il y a. Sa position conceptuelle est simple et logique : il n’y a pas de néant, si le néant est considéré comme le non être, car non seulement si nous abolissons tout ce qu’il est, nous ne pourrions abolir l’acte de l’esprit par lequel nous abolissons ce qui est, mais qui plus est, ce que nous nommons non être n’est au fond pas autre chose que cet être qu’il y a et dont nous ne voulons pas, ne considérant que l’absence de ce que nous voulons mais qui n’est pas là. Le néant est donc la chose absente haussée, par un déficit de la raison et de l’intelligence, à l’idée d’un non être généralisé et rationnel. Il ne saurait donc y avoir de néant, d’autant rappelle t’il, que la négation par l...

La logique des signifiants

 X: la variable inconnue : le sens des choses              Johna : x              belle :    y                                   Johna est belle : p   Formulée :                      p•(Xy)     ˥L : la variable non locale : le langage non local              Johna est là : p              Johna n’est pas là : ˥p                     ...

Position de travail de recherche préalable: Les psychoses spirituelles

Ma thèse de philosophie intitulée « Expression poétique et genèse de la rationalité dans le texte biblique, en Genèse et Exode, d’après les sources juives » a été publiée par les Éditions Ovadia, collection Chemins de pensée, en 2016 sous le titre Poétique de la raison biblique . Elle faisait suite à un travail de recherche sur le vide : esthétique, aïsthésie et épistémologie du concept de vide, dans les arts, les sciences et la philosophie, publié sous le titre Les miroirs de l’être, trois études sur le vide , en 2019, par les mêmes éditions, dans la même collection. Le travail que je souhaite effectuer actuellement est le prolongement de cette thèse qui formait un ensemble cohérent mais qui est restée inachevée, dans la mesure où toute la partie métapsychologie fut laissée de côté, pour des raisons évidentes de cohérence interne à la thèse. Néanmoins dans cette thèse je décris le modèle de l’évolution de la rationalité pour un individu et pour l’humanité, telle que pensée par le text...