Incessamment sous peu... La parution du livre les miroirs de l'être
Dernières relectures avant la publication...
Et en relisant ce texte j'ai eu la surprise de constater que je ne le connaissais pas réellement, tant la lecture que l'on fait pour soi n'a rien de comparable avec la lecture que l'on fait pour l'autre.
L'esthétique du presque rien traite de manière poétique ce presque rien qui agite les sciences, les arts, et la philosophie, comme l'émergence de la pensée même.
L'aïsthésie du vide traite de la danse contemporaine, qui actualise le vide comme le fond de l'être d'où elle jaillit. En ayant de nombreuses accointances avec des notions qui ont cours depuis des millénaires en orient.
Être:Rien traite du vide dans les représentations du monde, physiques et métaphysiques, et fait communier toutes les pensées vers la même chose: ce que nous sommes vraiment.
Les trois essais se répondent les uns les autres, mais jusqu'à cette relecture par moi comme une autre, je n'avais pas saisi à quel point l'approche était la même, et pourtant, c'est bien moi qui les ai écrits, j'aurais dû reconnaître ma patte depuis bien longtemps...
Redécouvrir ce que l'on a écrit est une aventure en soi, mais le lire comme une autre que soi est encore une toute autre aventure...
La première fois que je fis cet exercice, j'étais si tendue dans la volonté de bien faire que je ne l'avais pas perçu de cette manière, mais avec l'accoutumance, je goûte d'autres plaisirs dans ma relecture, et surtout je conçois comme je peux être intéressée par les mêmes problématiques depuis longtemps, en somme ma pensée se poursuit, s'affine et se cisèle, se creuse, au fur et à mesure du temps qui passe...
J'accueillerai avec plaisir vos retours, vos commentaires, et pourquoi pas des discussions...
Dernières relectures avant la publication...
Et en relisant ce texte j'ai eu la surprise de constater que je ne le connaissais pas réellement, tant la lecture que l'on fait pour soi n'a rien de comparable avec la lecture que l'on fait pour l'autre.
L'esthétique du presque rien traite de manière poétique ce presque rien qui agite les sciences, les arts, et la philosophie, comme l'émergence de la pensée même.
L'aïsthésie du vide traite de la danse contemporaine, qui actualise le vide comme le fond de l'être d'où elle jaillit. En ayant de nombreuses accointances avec des notions qui ont cours depuis des millénaires en orient.
Être:Rien traite du vide dans les représentations du monde, physiques et métaphysiques, et fait communier toutes les pensées vers la même chose: ce que nous sommes vraiment.
Les trois essais se répondent les uns les autres, mais jusqu'à cette relecture par moi comme une autre, je n'avais pas saisi à quel point l'approche était la même, et pourtant, c'est bien moi qui les ai écrits, j'aurais dû reconnaître ma patte depuis bien longtemps...
Redécouvrir ce que l'on a écrit est une aventure en soi, mais le lire comme une autre que soi est encore une toute autre aventure...
La première fois que je fis cet exercice, j'étais si tendue dans la volonté de bien faire que je ne l'avais pas perçu de cette manière, mais avec l'accoutumance, je goûte d'autres plaisirs dans ma relecture, et surtout je conçois comme je peux être intéressée par les mêmes problématiques depuis longtemps, en somme ma pensée se poursuit, s'affine et se cisèle, se creuse, au fur et à mesure du temps qui passe...
J'accueillerai avec plaisir vos retours, vos commentaires, et pourquoi pas des discussions...
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