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Comment je concevais la formation du monde...

Un peu d'humour... La philosophie des qualia ne serait ni plus ni moins que le récit de la création du monde..., selon moi, à un moment de ma vie où cela s'est imposé à moi comme une évidence... Mais en l'occurrence, il ne s'agit pas d'une création mais de la formation de l'univers et de la manifestation. Le verdict scientifique en Physique est que ma théorie n'est pas scientifique au sens français et positiviste du terme. Mais c'est une expérience de pensée, comme toutes les théories les plus farfelues de l'humanité : la quantique de Planck, la relativité d'Einstein, la poussée d'Archimède, le théorème de Pythagore, la pomme de Newton et autres beautés de la science... Alors oui, le positivisme français ne se satisfait guère de ce genre d'expériences de pensée, mais c'est par elles que se font les sciences...  Mon verdict est qu'il y a de nombreuses idées fort intéressantes dans ce texte et que ce récit, écrit entre Décembre 2018...
Articles récents

La philosophie des qualia

La philosophie des qualia est un livre de 120 pages écrites entre Décembre 2018 et Janvier 2021 pour sa première version, 2023 pour sa seconde version et qui est resté inachevé... Le destin de ce livre me conduit à mettre le texte en ligne et à le rendre public. Je livrerai les chapitres les uns après les autres sur un blog créé à cet effet. Ce livre explicite la formation de l'univers à la source de sa formation, c'est une théorie scientifique, donc et certes, mais c'est bien plus que cela, c'est surtout une manière de voir le monde qui n'exclut pas le divin, et donne du sens matériel à Ôm et YHWH, et aussi un sens spirituel à la matière tangible.  C'est aussi une théorie qui donne du sens à tous les états de la matière, et qui spécule sur les raisons de leur apparition dans l'univers. C'est donc bien une théorie spéculative, scientifique, et une expérience de pensée absolue. Ceci ne présage rien en revanche de sa validité logique et de sa valeur de vér...

Habiter le monde en déserrance : la figure de Qayin ou le déracinement comme temple

Extrait de Les psychoses spirituelles, inédit, en cours d’écriture.   Évoquer la figure de Qayin n’est pas anodine dans le contexte de l’interrogation de l’habitation du monde par l’humain éveillé : il est, dans la Genèse , le premier enfant du monde, de ce qu’il porte en lui sera induit ce que chaque personnage de la Genèse portera aussi, et partant, eu égard au destin de ce livre, une grande partie de l’humanité aussi. Il est le modèle même par lequel se fait, dans la Genèse , le processus d’accroissement de la rationalité, de la psyché et de l’être de l’humain, il est un archétype pour grandir, au-delà des apparences, il montre la voie de la croissance de l’humanité et forme un référent pour la lignée d’Adam. Il est manifestement et dès l’origine une figure ambigüe, criminel mais protégé, Mosheh le sera aussi, et qui contient dans ses termes propres le bien comme le mal, son nom même est une invitation à prendre connaissance de la connaissance en soi, la connaissan...

La philosophie entre vie et pensée: peau neuve

 Dans le souci de rendre lisible ce blog et d'en faciliter la lecture, mais aussi pour retrouver plus facilement des articles que vous auriez lu et dont vous voudriez retrouver la trace plus rapidement, j'ai créé un site internet que vous trouverez ici: Anne Laure Guichard Philosophie De cette manière, tout travail de recherche s'en trouvera plus aisé, et cela me permet aussi de parler de moi et de mon travail d'une manière plus fluide, vous saurez ainsi mieux qui je suis, ce que ce blog ne permettait pas réellement, en fait.  Sur ce site, vous trouverez tous les articles présents ici répertoriés sous une forme logique et rationnelle, en fonction de chaque discipline. Je vous souhaite une bonne lecture.

Science et conscience, La philosophie des qualia

Si un homme envoie une balle à 100 km heure, du point de vue de l’homme, la balle se meut, du point de vue de la balle, l’homme se meut, donc transitivité de la relativité. Pour moi c’est incompréhensible ! Car la balle n’a pas de conscience, donc de son point de vue rien ne se produit, ni mouvement ni immobilité. Si on remplace la balle par un autre être humain, je comprends mieux. L’humain envoyé reste immobile en soi mais se meut dans son ensemble : il voit l’autre s’éloigner à 100 km heure, mais au final, ce serait l’homme envoyé qui se retrouverait à une position différente, donc la relativité est double, du point de vue de l’homme envoyé, il ne se meut pas dans le mouvement qu’il fait (sauf s’il le désire) et de ce point de vue, l’autre reste immobile aussi (s’il le désire) tout en s’éloignant, et dans le mouvement que fait l’homme envoyé, c’est toujours lui qui s’est mu, et non l’homme qui l’a envoyé, qui ne se meut pas volontairement. En d’autres termes la relativité e...

La logique des signifiants

 X: la variable inconnue : le sens des choses              Johna : x              belle :    y                                   Johna est belle : p   Formulée :                      p•(Xy)     ˥L : la variable non locale : le langage non local              Johna est là : p              Johna n’est pas là : ˥p                     ...